Le 29 février 1960 fut une date fatidique pour la ville d’Agadir.
Peu avant minuit, un séisme de 15 secondes seulement anéanti la
cité, ensevelissant au moins 15 000 personnes. Sur la colline,
seuls les remparts ont été reconstruits. Une exposition de photos
et de témoignages au jardin d’Olhao nous rappelle cette tragédie.
Après la visite, une promenade dans le parc permet de découvrir les
petits ponts et murets de pierres. Au détour d’une allée, un
artiste-peintre croque le paysage.
jeudi 31 janvier 2019
mercredi 30 janvier 2019
30 janvier : Marché d'Aourir
Une
fois par semaine, autochtones et vacanciers se pressent aux souks
d’Aourir, à une dizaine de kilomètres d’Agadir. C’est une
profusion de légumes et de fruits qui s’étalent à même le sol
sur quelques bâches. Les montagnes de clémentines, haricots, petits
pois, tomates et autres légumes locaux colorent les allées. Plus
loin, le bric-à -brac habituel, les vêtements ou ustensiles de
cuisine cohabitent avec les sacs d’écoliers. Chacun trouvera son
bonheur dans le dédale des allées. Avant de partir, pourquoi
n’achèterions nous pas une poule ? Il n’y a que des
avantages : elle pond un œuf tous les jours, et nous pouvons
aussi la mettre dans la cocotte.
lundi 28 janvier 2019
28 janvier : Cap sur Agadir
Ce
matin, nous plions bagages pour nous rendre à Agadir. Les vacances
sont terminées (pas pour nous, mais pour les écoliers marocains).
Le ciel est d’un bleu très pur. La route serpente à travers les
petites collines, traversant les forêts d’arganiers et file droit
vers l’océan. Les pêcheurs ont planté leurs cabanes au bord de
l’eau. Au fur et à mesure que nous approchons de la ville, de
nouvelles stations balnéaires s’élèvent le long de la plage.
Nous jetons l’ancre au camping international implanté à l’entrée
d’Agadir.
dimanche 27 janvier 2019
27 janvier : Marché Had-Drâa
A 5 km d’Ounara se tient chaque dimanche, le plus grand marché du
sud marocain. La petite bourgade d’Had-Drâa (had signifie dimanche
et drâa, marché) est réveillée de très bonne heure pour ces
négociations de dromadaires, ânes, vaches et moutons. Les camions
de transport chargent les animaux au fur et à mesure de la
réalisation des ventes. Dans les rues, les marchands ont déballé
les productions locales de fruits et légumes mais aussi articles en
tous genres. La rondelle de pain s’achète à 1dh (10 centimes
d’euro) et le kilo de clémentines 2dh, des montants dérisoires.
Tout compte fait, nous avons abandonné l’idée d’acheter un
mouton pour faire notre méchoui. (pas facile à transporter).
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